L’opinion

Après Sénégal-Centrafrique, le programme de ce jeudi 2 mai affichait RDC-Ghana comme deuxième affiche de la J1 du groupe C.   Les deux protagonistes se sont séparés sur le score de parité 1-1 au bout d’une partie âprement disputée.   *Les Léopardeaux ont ouvert le score à la 16’. *Les Black Satellites allaient égaliser à la 26’.   Le score n’a plus évolué plaçant ainsi les quatre équipes du groupe C à égalité parfaite : un point au compteur. La J2 pourrait être décisive pour la suite 📹 TEMPS FORTS : 🇨🇩 1-1 🇬🇭Aucune des deux équipes n'a réussi à prendre l'avantage, la RD Congo et le Ghana se contentent d'un point chacun.#TotalEnergiesAFCONU20 | #RDCGHApic.twitter.com/97ioTuvzL9— CAF - FR (@caf_online_FR) May 2, 2025

Le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication prévoit le lancement d’un programme national de création de nouvelles crèches à l’échelle nationale, dans le but de faciliter l’accès des femmes au marché de l’emploi, a indiqué le secrétaire général du département de la Jeunesse, Mustapha Messoudi. Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une réunion consacrée à la promotion de l’emploi, présidée par le Chef du gouvernement en présence des départements ministériels concernés, M. Messoudi a souligné que ce programme s’inscrit dans le cadre des efforts du ministère visant à élargir l’offre nationale en matière de crèches et à favoriser l’insertion professionnelle des femmes.   Le ministère réalisera, dans ce sens, une étude diagnostique dans les mois à venir, en vue de l’élaboration d’un plan d’action d’ici la fin mai, a précisé le responsable, faisant savoir que la première phase de mise en œuvre du programme démarrera en juin.   Cette réunion s’inscrit dans le cadre du suivi de la mise en œuvre de la feuille de route pour le secteur de l’emploi, ainsi que la mise en place des mécanismes de gouvernance et des mesures de coordination entre les différents acteurs. 

Meta a annoncé le lancement d'un assistant d'intelligence artificielle (IA) générative sous forme d'application, distinct de ses réseaux sociaux Facebook ou Instagram, une étape qui le fait entrer en concurrence frontale avec ChatGPT ou Gemini. Le géant technologique a annoncé le lancement d’une nouvelle application autonome, intégrant un assistant IA capable de rivaliser avec les poids lourds du secteur comme ChatGPT d’OpenAI ou Gemini de Google. Le groupe de Menlo Park (Californie) a déjà consacré des milliards de dollars au développement de cette IA générative, mais se cantonnait jusqu'ici à l'intégrer dans son écosystème de réseaux sociaux et messageries, sans proposer de produit séparé. Quasiment un milliard d'internautes interagissent avec Meta AI sur les plateformes existantes du groupe, Facebook, Instagram, Threads et WhatsApp, a révélé mardi le PDG Mark Zuckerberg lors d'une conférence. Meta AI s'appuie sur le modèle d'IA générative Llama, dont les versions en accès libre (open source) sont déjà populaires auprès des développeurs et des entreprises, qui l'ont déjà téléchargé plus de 1,2 milliard de fois. Le groupe vient de publier, début avril, Llama 4, qui présente des améliorations sensibles par rapport à ses prédécesseurs, notamment dans la compréhension des images et de vidéos. Meta AI peut être utilisé en mode texte, ce qui nécessite de rédiger ses demandes, mais aussi par la voix. Pour Mark Zuckerberg, "la voix va devenir un aspect de plus en plus important dans la façon dont les gens interagissent avec ces modèles". L'utilisation du nouveau modèle Llama 4 permet d'offrir des réponses "plus personnelles et pertinentes, sur le ton d'une conversation", selon le communiqué publié mardi. Il est possible de demander à l'interface de se souvenir de certaines informations, pour ne pas avoir à les répéter lors d'une conversation ultérieure. Si l'utilisateur en a donné l'autorisation, Meta AI peut aussi aller chercher des éléments sur ses comptes Facebook ou Instagram. De cette façon, "l'assistant aura une idée générale de vos centres d'intérêt", a développé Chris Cox, responsable produit de Meta, lors d'une conférence dédiée à Llama, mardi. Tout comme ses grands concurrents, le chatbot a accès à internet pour l'aider à produire une réponse plus complète et à jour. Meta AI comprend aussi un fil baptisé "Discover", "pour partager et explorer comment les autres se servent de l'IA" générative. Même si Meta AI arrive très tard sur un marché déjà dense, l'audience du groupe, avec plus de trois milliards d'utilisateurs mensuels de Facebook, fait de l'interface une menace pour ses rivaux, tels ChatGPT, Claude ou Gemini. "Nous voulions repousser les limites et offrir une nouvelle vision de la façon dont les gens peuvent utiliser l'IA", a déclaré mardi Chris Cox. Meta n'a pas précisé si l'application nécessiterait un abonnement payant pour les utilisateurs les plus actifs. Sollicité par l'AFP, le groupe n'a pas donné suite dans l'immédiat. Meta propose également un mode "full-duplex", qui rend le délai de réponse quasiment nul à l'oral et autorise à parler au chatbot avant qu'il n'ait fini sa phrase. La fonctionnalité est rendue possible car le contenu sonore est directement généré, sans passer par du texte. L'échange ressemble "à un vrai dialogue, comme un appel téléphonique". "Cela repousse les limites du possible pour les interactions vocales naturelles." Pour l'instant, ce mode n'est pas en mesure de puiser sur internet et est donc limité à une quantité de données finie. En donnant priorité à la voix, Meta chasse, outre ChatGPT ou Gemini, sur le terrain des assistants vocaux, principalement Siri d'Apple et Alexa d'Amazon. Dans une vidéo postée sur Instagram, Mark Zuckerberg a laissé entendre que Meta prévoyait de concevoir des équipements axés sur l'IA générative, à l'instar des lunettes connectées, fabriquées en partenariat avec Ray-Ban. "C'est le début d'un long parcours", a promis le patron du groupe. 

La Confédération marocaine des exportateurs (ASMEX) a annoncé la mobilisation d'une importante délégation d’exportateurs marocains pour se rendre en mission au Caire (Égypte) du 03 au 05 mai 2025, dans l'objectif de renforcer les échanges commerciaux et ouvrir de nouveaux débouchés sur le marché égyptien. Organisée à l'initiative du secrétaire d'Etat chargé du Commerce extérieur, Omar Hejira, avec la conduite active du président de la Confédération marocaine des exportateurs, Hassan Sentissi El Idrissi, cette mission est l'aboutissement d'un travail stratégique de longue haleine, porté avec rigueur et vision par l'ASMEX et la ferme volonté de promouvoir le "Made in Morocco", indique un communiqué de la Confédération.   Réunissant 35 chefs d'entreprises issus des principaux secteurs exportateurs, ladite mission s'inscrit dans le prolongement d'un dialogue approfondi avec les autorités égyptiennes, amorcé dès le mois d'avril avec la visite de l'Ambassadeur d'Égypte au siège de la Confédération, suivie de l'organisation réussie d'un "Zoom Pays Égypte" qui a permis aux participants de bénéficier d'un éclairage précis sur les opportunités et les modalités d'accès au marché égyptien.   Ce dynamisme, salué par les opérateurs et largement relayé par la presse, témoigne de la vocation naturelle de l'ASMEX à valoriser les intérêts de l'export national et à anticiper les besoins du tissu productif.    À travers l'engagement constant de son Président, M. Sentissi, la Confédération démontre sa capacité à fédérer, à préparer et à accompagner les entreprises dans une logique de partenariat stratégique, loin de toute approche improvisée    Dans ce contexte, l'ASMEX tient à rappeler que la légitimité d'une mission économique se mesure à la qualité de sa préparation, à la représentativité des opérateurs qui y prennent part – en l'occurrence exclusivement des exportateurs – et à la clarté des objectifs poursuivis.    L'ASMEX poursuivra avec détermination, et dans un esprit de responsabilité, sa mission d'accompagnement des exportateurs marocains, en défendant son rôle de référence dans la diplomatie économique du Royaume sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, fait savoir le communiqué. La Confédération consolidera aussi son action à l'international au service d'un commerce extérieur marocain plus équilibré, plus ambitieux et plus durable.                       

Le secrétariat d'Etat chargé de la Pêche maritime a annoncé, vendredi, l'interdiction de la récolte et de la commercialisation des moules issues de la zone conchylicole classée Imi Ouaddar (site élevage de moule) relevant de la région d'Agadir, jusqu'à épuration totale du milieu. Cette décision fait suite aux résultats d'analyses effectuées par l'Institut National de Recherche Halieutique (INRH) dans cette zone, qui ont relevé la présence de toxines marines dans les moules à des niveaux dépassant les normes autorisées, indique un communiqué du secrétariat d'Etat chargé de la Pêche maritime.   En conséquence, poursuit la même source, il est recommandé aux consommateurs de ne s'approvisionner qu'en produits conditionnés, portant les étiquettes sanitaires d'identification et commercialisés dans les points de vente autorisés (marchés officiels).   Les produits conchylicoles colportés ou vendus en vrac ne présentent aucune garantie de salubrité et constituent un danger pour la santé publique, conclut le communiqué.    

Le champion en titre cale d'entrée. Il concède le nul 1-1 contre le Centrafrique.   Après que la première période s’est achevée sur la parité 0-0, le Sénégal s’est mis devant à la 47e grâce à une tête de Cheick Thiam ayant coupé la trajectoire d’une transversale du côté droit. 1-0   Le Centrafrique a égalisé à la 75’ par Pengazonia qui venait d'intégrer le jeu en concrétisant un contre rapidement mené. 1-1 📹 TEMPS FORTS : 🇸🇳 1-1 🇨🇫Une bataille serrée qui se termine par un partage des points entre le Sénégal et la République centrafricaine.#TotalEnergiesAFCONU20 | #SENCTApic.twitter.com/9ZfkA2ukHJ— CAF - FR (@caf_online_FR) May 2, 2025

Casablanca franchit un cap dans la digitalisation industrielle arabe avec le lancement d’APIP.online, une plateforme interrégionale dédiée à la promotion du « Made in Morocco ». Ce nouvel outil stratégique vise à connecter les entreprises marocaines aux marchés du Maghreb et du Moyen-Orient. Dans une nouvelle dynamique de coopération économique interarabe, Casablanca a été le théâtre, le mercredi 30 avril 2025, du lancement officiel de la plateforme numérique APIP.online, un outil stratégique destiné à stimuler l’intégration industrielle régionale et à faciliter l’internationalisation des entreprises marocaines. Cet événement, organisé par la Chambre de Commerce, d’Industrie et de Services de Casablanca-Settat (CCISCS) en partenariat avec l’Organisation Arabe pour le Développement Industriel, la Normalisation et les Mines (AIDSMO), marque une étape décisive dans l’essor de la transformation digitale du tissu industriel arabe.   Lors de cette conférence institutionnelle, les organisateurs ont mis en lumière les ambitions portées par cette plateforme gratuite, qui se veut un catalyseur de visibilité, de partenariat et de croissance pour les opérateurs économiques des régions du Maghreb et du Moyen-Orient. L’objectif est clair : offrir un accès privilégié à un réseau interrégional d’entreprises industrielles, renforcer la présence des produits sur les marchés arabes, et exploiter pleinement les opportunités offertes par la numérisation dans le marketing et la promotion.   Prenant la parole à cette occasion, Hassane Berkani, président de la CCISCS, a salué APIP.online cette plateforme numérique qu’il qualifie de prometteuse, en soulignant son potentiel pour ouvrir de larges perspectives aux entreprises marocaines, tout en consolidant leur positionnement sur l’échiquier industriel régional. Il a précisé que cette plateforme représente « une étape nouvelle et importante, notamment pour les jeunes entrepreneurs, les startups, ainsi que les petites et moyennes entreprises. » Dans un monde où la digitalisation est désormais au cœur des stratégies de développement, il a rappelé que la CCISCS a noué un partenariat avec l’AIDSMO pour soutenir cette dynamique. Il a profité de cette tribune pour remercier l’organisation pour sa confiance et souligner que la Chambre sera pleinement impliquée dans la gestion de cette plateforme, avec pour objectif de faciliter la commercialisation de produits 100 % marocains sur les marchés arabes.   Il a également mis en lumière l’importance de cet outil numérique, déjà déployé dans plus de 20 pays arabes et musulmans, en soulignant que « le marketing est désormais la clé dans un monde globalisé ». Berkani a indiqué que des millions de visiteurs consultent la plateforme, bien qu’il ait laissé à l’AIDSMO le soin de dévoiler les chiffres précis. Il a insisté sur l’opportunité offerte aux entreprises marocaines de se faire connaître gratuitement, sans quitter le territoire national, ajoutant :   « Le rôle de la Chambre de Commerce de Casablanca est de créer des ponts entre ces entreprises marocaines et cette organisation arabe, afin de leur donner une impulsion vers les marchés mondiaux. Tous les secteurs de production marocains sont concernés. Il ne s’agit pas de cibler un produit particulier, mais bien de promouvoir tout ce qui est marocain, à destination des pays arabes et islamiques. Cette plateforme rapprochera les clients et les investisseurs, et ouvrira la voie à un commerce gagnant-gagnant, avec une vraie valeur ajoutée à l’avenir. »   Mohammed Kamal, chef du Département des Informations Industrielles et du Bureau de Coopération Internationale et Promotion à l’AIDSMO, a quant à lui présenté les fonctionnalités d’APIP.online, conçue pour valoriser l’offre industrielle arabe. Dotée d’outils d’analyse intégrés comme Microsoft Power BI, enrichie d’une application mobile dédiée, la plateforme permet à toute entreprise référencée de bénéficier d’un espace numérique structuré et accessible. À ce jour, plus de 9000 entreprises industrielles sont déjà enregistrées, attirant une audience impressionnante de plus d’un million de visiteurs chaque trimestre.   De son côté, Mohammed El Fen, président de la Commission Investissement & Franchise à la CCISCS, a souligné que « la plateforme APIP est une opportunité pour les industriels marocains qui font le "Made in Morocco" de s’intégrer pleinement dans les marchés du Moyen-Orient et du Maghreb. Elle abrite déjà plus de 60 000 industries, s’étend à plus de 21 pays et atteint plus d’un million de visiteurs chaque trimestre ». Il a ajouté que ce portail représente une solution concrète pour de nombreux entrepreneurs qui, faute de moyens pour se déplacer à l’international, peuvent désormais accéder à de nouveaux marchés tout en restant au Maroc. « Le marché du Moyen-Orient représente plus de 4 milliards de dirhams, il est donc crucial d’intensifier nos efforts pour y pénétrer. Grâce à cette plateforme digitale, cela devient possible », a-t-il insisté. Il a également rappelé que cette initiative, lancée par l’AIDSMO en 2019, est aujourd’hui portée par une organisation à but non lucratif, et vise à mettre en avant les entreprises industrielles arabes dans plusieurs pays.   Par cette initiative, la CCISCS et l’AIDSMO réaffirment leur volonté de renforcer les synergies économiques interarabes et de soutenir activement le développement durable d’un écosystème industriel partagé, moderne et connecté.

L’Institut Cervantes de Rabat annonce la tenue de la 9ᵉ édition du Festival du cinéma en espagnol, qui se déroulera du 6 au 26 mai 2025. Ce rendez-vous, désormais bien ancré dans le calendrier culturel de la capitale marocaine, proposera une sélection de 12 films en provenance de pays hispanophones, dont l’Espagne et plusieurs pays d’Amérique latine. Les projections se tiendront à 18h30 dans les locaux de l’Institut Cervantès de Rabat et présenteront une variété de genres, allant de la fiction au documentaire, en passant par le cinéma sportif. La séance d’ouverture, prévue le lundi 6 mai à 18h30, verra la participation de Mabel Gómez Oliver, ambassadrice du Mexique au Maroc, Enrique Ojeda, ambassadeur d’Espagne au Maroc, et du directeur de l’Institut Cervantes de Rabat, Anastasio Sánchez Zamorano. Parmi les films à l’affiche on compte : « La vida en gris » (Mexique, 2023) de Josian López ; « Hasta en las mejores familias » (Chile, 2025) de Gustavo Letelier ; « La casa de mamá Icha » (Colombia, 2025) de Óscar Molina ; « Tocar y luchar » (Venezuela 2025) de Alberto Arvelo ; « La familia Reyna » (Republique Dominicaine 2025) de Tito Rodríguez ; « Muchachos: la película de la gente » (Argentine, 2023) de Jesús Braceras Cipactli ; « La diosa cocodrilo » (El Salvador, 2025) de Mauro Arévalo ; « Matar a un muerto » (Paraguay 2025) de Hugo Giménez ; « Despierta mamá » (Panama 2025) de Arianne Benedetti ;  « AM-PM » (Cuba 2025) de Alejandro Gil ; « El bien esquivo » (Pérou 2025) de Augusto Tamayo ; « La estrella azul » (Espagne 2025) de Javier Macipe. Les films seront projetés en version originale espagnol avec sous-titrage en français ou en anglais. Le festival est organisé en collaboration avec l’Institut Cervantes et plusieurs ambassades latino-américaines (Argentine, Chili, Colombie, Cuba, El Salvador, Espagne, Mexique, Panama, Paraguay, Pérou, République Dominicaine et Venezuela) accréditées au Maroc, dans le cadre d’un engagement commun pour la promotion de la diversité culturelle et linguistique du monde hispanophone à travers le cinéma.

Le financier marocain Anas Laghrari, proche collaborateur de Florentino Pérez, semble destiné à jouer un rôle central dans l'avenir du Real Madrid. Selon les médias français FootMercato et espagnol Marca, il serait même envisagé comme un potentiel successeur à la présidence du club. Né à Casablanca et ayant grandi en France, Laghrari est un homme de l'ombre au parcours brillant. Proche de Pérez depuis de nombreuses années — une relation héritée des liens professionnels entre leurs familles — il s'est forgé une place de choix dans le cercle restreint de la direction madrilène. Passé par la Société Générale à Madrid, il s'est imposé comme un conseiller stratégique majeur, notamment lors de la restructuration financière du club et des opérations complexes de Florentino Pérez avec son entreprise ACS.   Discret mais décisif, Laghrari est crédité d'un rôle clé dans plusieurs projets emblématiques : il serait à l'origine de l'idée de la Super Ligue européenne, dont il aurait orchestré les fondations financières, tout en assurant les relations entre les grands clubs. Il aurait également joué un rôle de premier plan dans la rénovation ultra-moderne du stade Santiago Bernabéu, ainsi que dans un soutien financier ponctuel au FC Barcelone, conseillé par Pérez lui-même, pour renforcer une rivalité qui sert aussi les intérêts du Real.   Bien qu'il n'occupe aucune fonction officielle, son influence sur les décisions stratégiques du club ne cesse de croître. Selon les informations de Foot Mercato, Florentino Pérez, conscient de ses 77 ans et de l'approche de la fin de son mandat (2025–2029), envisagerait une modification des règles du club, qui réservent aujourd'hui la présidence à une personne de nationalité espagnole. Ce changement viserait à permettre à Laghrari, marocain et non médiatisé, mais hautement respecté, de pouvoir accéder à la plus haute fonction. Selon Marca, le président actuel de la Casa Blanca espère laisser le club entre de bonnes mains et voit en Laghrari un candidat parfait pour occuper le trône du Bernabéu.   Son profil séduit : compétent, cultivé, moderne et loyal, il incarne une nouvelle génération de dirigeants. Son éventuelle arrivée à la présidence du Real Madrid serait une première historique pour un non-Espagnol, et surtout pour un Marocain. Ce scénario, encore incertain, symbolise l'évolution d'un club en quête de modernité, sans pour autant rompre avec son héritage.

Le Maroc a franchi un nouveau cap d’exportation de tomates en Norvège. Entre juin 2024 et mars 2025, le Royaume a y exporté 5000 tonnes de tomates. Détails. Cela représente une augmentation de 28,9% par rapport au volume total des exportations enregistrées pendant la saison agricole précédente, selon EastFruit. Selon la même source, le Maroc exporte ses tomates en Norvège tout au long de l’année, notamment entre novembre et mars. En janvier seul, le Maroc a brisé le record mensuel d’exportations de tomates vers la Norvège avec un volume de 1150 tonnes . Jusqu'à présent, le Maroc est le troisième fournisseur de la Norvège en tomate derrière l’Espagne et les Pays-Bas. La part du  marché du Maroc a connu une hausse constante pendant les dernières années en passant de 6% à 22% 2023.  Entre-temps, le Royaume cherche à augmenter ses exportations de fruits dont les mandarines, les myrtilles et les framboises vers le marché norvégien.